Marseille connaîtra alors le climat de Séville, et Paris celui de Montpellier. C’est du moins, les prévisions du GIEC sur notre avenir. Pour inverser la tendance, certains s’engagent dans des associations et groupes militants, réduisent leur consommation, cherchent des modes de vie plus respectueux de l’environnement. D’autres, au sein des institutions, mènent des politiques et érigent de nouvelles normes, indispensables au bien vivre ensemble.
A mi-chemin entre la théorie du colibri et les grandes politiques menées par l’Etat en matière d’écologie, existerait-il un échelon intermédiaire ? Comment faire pour lier toutes les personnes de bonne volonté tout en s’inscrivant dans une transition écologique comme souhaité par nos gouvernements et nos enfants ? C’est en tout cas le message que veut faire passer la Fabrique des Transitions.
Reportage en quatre épisodes pour mieux travailler ensemble à demain.
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